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- -Debout
- -Chez
les Bretons
- -Salut
à toi Bretagne
- -Dans
ma belle Bretagne
- -Les
vieilles églises bretonnes
- -A ma
Bretagne
- -La
Bretagne sainte
- -La
Bretagne
- -Le
pardon de la Palud
- -La
devise des Bretons
- -Cantique
du Paradis
- -Adieu,
Rennes
- -Le
Pays
- -Je
te pardonne
- -Sainte
Anne
- -Ploërmel
-
- Contactez-nous
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- 0h! ne quittez
jamais, c'est moi qui vous le dis,
- Le devant de la porte
où l'on jouait jadis,
- L'église où, tout enfant, et
d'une voix légère,
- Vous chantiez à la messe auprès
de votre mère ;
- Et la petite
école où, traînant chaque
pas,
- Vous alliez le matin, oh ! ne la quittez pas
!
- Car une fois perdu parmi ces
capitales,
- Ces immenses Paris, aux tourmentes
fatales,
- Repos,
fraîche gaîté, tout s'y vient
engloutir,
- Et vous les maudissez sans pouvoir en
sortie
- Croyez qu'il sera doux de voir un jour
peut-être
- Vos fils étudier sous votre bon vieux
maître,
- Dans l'église avec vous chanter au
même banc,
- Et louer à la porte où l'on
jouait enfant.
Auguste Brizeux
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